|
|
Les deutéromycètes ou moisissures peuvent envahir et infester de grandes surfaces. Plus la surface est importante, plus les risques pour la santé sont graves. Le Stachybotrys chartarum par exemple, produit ses propres mycotoxines. |
|
|
|
|
|
|
Le réseau formé par les rhizomorphes sont souvent impressionnants et peuvent infester plusieurs dizaines de m² |
|
|
|
|
|
|
Quand un Conopilus pousse sur le carrelage de votre salle de bain, derrière votre radiateur, plutôt insolite, non ? |
|
|
|
|
|
|
Mérule Serpula lacrymans colonisant un plancher |
|
|
|
|
|
|
Autre Mérule colonisant cette fois un plafond |
|
|
|
|
|
|
Cette moisissure Stachybotrys chartarum produit ses propres mycotoxines, c'est une espèce dangereuse pour la santé de l'homme. |
|
|
|
|
|
|
Ce poinson planté facilement dans la poutre à côté du sporophore d'un Donkioporia, permet de comprendre la vulnérabilité de résistance de celle-ci, dégradée par une pourriture fibreuse blanche invisible. |
|
|
|
|
|
|
Cet autre cliché d'un Donkioporia expansa, montre les ravages qu'est capable de produire cette espèce redoutable dans les bâtiments |
|
|
|
|
|
|
Une mérule avec plusieurs sporophores, s'est discrétment installée sur le plancher derrière un canapé, dans un salon apparemment sain ! |
|
|
|
|
|
|
On remarque la taille du sporophore de cette mérule sur les lattes du plancher, mais ce n'est que la partie immergée de l'iceberg ! |
|
|
|
|
|
|
Le véritable danger de la mérule se situe en fait sous le plancher, où les enzimes du mycélium sévissent inexorablement |
|
|
|
|
|
|
C'est encore pire sous les lattes du plancher, où le mycélium de la mérule à labri de la lumière et des courants d'air, prolifère allégrement. |
|
|
|
|
|
|
On imagine peu, ce qui se passe sous nos pieds, dans les espcaces vides, sous le plancher ou les poutres. |
|
|
|
|
|
|
Le mycélium blanc, plus ou moins jaunissant, ouateux, peut envahir et infester une cloison ou un mur entier (voire toute la pièce - déjà vu !). |
|
|
|
|
|
|
Les enzimes du Coniophore dégradent facilement la cellulose du bois, produisant une pourriture cubique caractéristique et le rendant friable à terme. |
|
|
|
|
|
|
Mycélium blanc, cristallin, du Fibropore. |
|
|
|
|
|
|
Plancher complétement désagrégé par un champignon lignivore |
|
|
|
|
|
|
Sur cette latte de plancher on remarque le mycélium à gauche responsable de la pourriture cubique à droite. Le bois a perdu sa résistance, le plancher est à déposer. |
|
|
|
|
|
|
|
Xylostrome du Lenzite du sapin Gloeophyllum abietinum les lames sont 'perdues" dans un amas d'hyphes squelettiques brunes à paroi épaisse, dont l'aspect ressemble à un velours un peu rêche. |
|
|
|
|
|
|
Les Lenzites (genre Gloeophyllum) peuvent également se présenter sous forme de xylostrome, sorte d'anamorphose assez fréquente dans le bâti, qui désoriente le diagnostiqueur non averti. |
|
|
|
|
|
|
Le mycélium d'un Asterostroma flotte sur l'eau d'une inondation dans une cave |
|
|
|
|
|
|
Infestation et progression de l'Aspergillus. |
|
|
|
|
|
|
Cet Asterostroma diffuse son mycélium en forme d'éventail à la conquête du bois |
|
|
|
|
|
|
Attaque de mobilier, tissus, bois, tapis par une moisissure du genre Aspergillus |
|
|
|
|
|
|
Le sporophore s'instale durablement sur la poutre |
|
|
|
|
|
|
Le mycélium part à la conquêtre d'autres horizons |
|
|
|
|
|
|
Le mycélium prend des couleurs étranges, d'un rouge bordeaux vineux, selon la chimie du support |
|
|
|
|
|
|
Le sporophore se met en place progressivement afin de pouvoir se reproduire en libérant ses spores |
|
|
|
|
|
|
Les primordiums de mérule (jeunes sporophores immatures) sur les murs en l'absence de bois et donc de cellulose |
|
|
|
|
|
|
Les primordiums de mérule deviennent des sporophores matures, capables de produire des spores, soit environ 1 milliard par dm² ! |
|
|
|
|
|
|
Les rhizomorphes du Coniophore des caves progressent souvent à l'horizontal |
|
|
|
|
|
|
Les sporophores discrets au début, augmentent en surface progressivement |
|
|
|
|
|
|
Le Coniophore s'installe par le bas de la pièce, derrière la plinthe à la base du mur |
|
|
|
|
|
|
Dans le même temps, ses rhizomorphes colonisent le haut de la pièce, atteingnant progressivement le plancher et le mur du sous-sol, pour aller chercher l'eau indispensable à sa progression. |
|
|
|
|
|
|
On a généralement l'habitude de cueillir des Coprins dans sa pelouse, mais ils s'invitent ici sur les murs de votre habitation ! |
|
|
|
|
|
|
Ces curieux champignons à pieds, déliquescents, proviennent d'un mycélium peu destructeur, mais pouvant atteindre des surfaces de plusieurs dizaines de m² dans le bâti ! |
|
|
|
|
|
|
Le Polypore des caves, encore peu ou pas connu voici une dizaine d'années, ce champignon très destructeur est en pleine expansion ! |
|
|
|
|
|
|
Le mycélium du Donkioporia souvent d'un blanc pur, ressemble quelque peu au polystirène tant par sa couleur que par sa texture |
|
|
|
|
|
|
Cette espèce plus facile à éradiquer que la Mérule fait néanmoins de gros ravages dans le bâti, cave, palier et charpente surtout. |
|
|
|
|
|
|
Le mycélium donne vite naissance à des primordiums puis des sporophores matures capables de disperser les spores dans l'atmosphère pour coloniser d'autres immeubles |
|
|
|
|
|
|
Le pouvoir d'un mycélium à coloniser et infester de grandes surfaces est toujours impresionnant ! |
|
|
|
|
|
|
Des infiltrations dans le vide sanitaire sont souvent l'objet de présence de champignons indésirables dont les Pézizes. |
|
|
|
|
|
|
Les sporophores de Pézize se développent, presque toujours, directement sur la maçonnerie et non sur le bois ! |
|
|
|
|
|
|
On trouve une autre Pézize très proche de celle ci-dessus, nommée Pézize des murs ou Peziza muralis. |
|
|
|
|
|
|
On voit d'ailleurs ici, les Pézizes des murs, greffées directement sur les pierres de grès, sur un mur d'un sous-sol. |
|
|
|
|
|
|
On remarque la superficie du mycélium sur le plancher et le petit sporophore de mérule à côté, mais les filaments mycéliens ou syrrotes peuvent monter jusqu'au plafond et traverser les murs pour atteindre les pièces voisines et celles de l'ensemble du bâtiment, ce qui est loin d'être rare ! |
|
|
|
|
|
|
Cette fois le mycélium n'est pas visible, ce qui ne l'empêche pas d'être présent et de développer un gros sporophore, chargé de milliards de spores, dans un angle du plafond. |
|
|
|
|
|
|
Le mycélium du Fibropore est souvent très spectaculaire. Il est collant et tombe comme des stalactites, faisant penser à du givre. |
|
|
|
|
|
|
Le Lenzite peut être un agent de carie important, souvent dans les charpentes ou les bois extérieurs du bâti, on peut néanmoins le rencontrer en sous-sol. |
|
|
|
|
|
|
On remarque ici le détail de sporophores de Lenzite Gloeophyllum sepiarium, sur une poutre dégradée et bonne à être remplacée. |
|
|
|
|
|
|